La Féderation MARD initiera les mois à venir de grandes activités sur :
le réboisement et le rechauffement climatique: la ceinture verte
La preventions des conflits et la préservation de la paix en périodes electorales
ainsi que la 7 ème semaine culturelle du cerf
mardi 10 mai 2011
lundi 21 février 2011
Libye
C'est le coeur serré , que je suis les évenements en Libye, le peuple libyen est un peuple ami du Mali , le guide Kadhafi est un dirigeant ami du Mali. restant reconnaissant à tous les investissements libyens au Mali et à toutes les aides libyennes au peuple malien. Cela dit je ne peux cautionner les tuerie dans pays frère. Le dialogue s'impose une reponse pacifique doit être apportée aux soulèvements et non la force.
Que dieu protège le peuple libyen
mercredi 26 janvier 2011
Non à la main mise sur le CNJ-Mali
La situation au sein du CNJ-Mali est detestable à plus d'un titre , car il s'agit ni plus ni moins d'une tentative de caporalisation de la jeunesse par la direction nationale de la jeunesse du Mali. Aucun homme , auncun directeur n'aura la possibilité de detourner la jeunesse notament le CNJ Mali de ses objectifs.
Les jeunes sont sortis nombreux ce mercredi 26 janvier pour dire non à cette tentative de caporalisation inacceptable
Voir photo
mardi 25 janvier 2011
Lassa
Je suis arrivé à Lassa un des 8 quartiers de la commune IV, il y a un manque d'équipement criard dans ce quartier jonché sur la colline , nous avons amené du matériel medical ,de chirurgie , une table d'accouchement , deux charriots medicament , un glucomètre . Eh ils sont contents!!!
lundi 24 janvier 2011
ce que je crois
Conférence débat
Thème :
Etat de la démocratie en Afrique / la situation de la jeunesse
Lieu : Carrefour des jeunes de Bamako
Date : Le Samedi le 22 janvier 2011.
Communicateur :
Dr Modibo M SOUMARE président de l’Union des patriotes pour la république (URP), Président d’honneur du MARD.
I. Définition et Historique du multipartisme en Afrique :
La démocratie par définition c’est le pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple.
Après le discours du président François Mitterrand appelant à la démocratie en Afrique, les pays africains ont pris le chemin de la gestion publique par des formations politiques constituées.
• Le Mali (révolution du 26 mars) ;
• Le Sénégal (SOPI) qui a vu l’arrivée de maître Abdoulaye au pouvoir
• Le Niger de Maïnassara Baré
• La Côte d’Ivoire (l’accession de Laurent Gbagbo) ;
• Le Bénin l’arrivée de Nicéphore Soglo au pouvoir ensuite le retour de Mathieu KEREKOU
• Le Ghana avec une bonne alternance de John Djery Rowling à John Atamyl
• La République Démocratique du Congo et Le Congo Brazzaville
• La Sera Leone avec Hélène Jonson
• Le Gabon, le Togo avec des successions de pères à fils
• La spécificité des pays du Maghreb, de la Mauritanie de la Libye et de l’Egypte.
II. Une Constance dans ces démocraties
A regarder de prêt, la démocratie dans ces différents pays après une vingtaine d’années de balbutiement, se caractérise par « l’achacratie» pour ne pas dire l’achat des consciences. Les milliards de francs pour financer l’achat des consciences.
Dans ces conditions, la démocratie piégée dans laquelle nous vivons, ne rend plus service au peuple de nos pays. Au nom de cette démocratie piégée, certains acteurs politiques détournent l’argent du peuple à des fins personnelles et partisanes. Ils deviennent des références et des exemples pour la jeune génération. Cela entraine une perte de repère pour nos concitoyens.
Alors que reste-il à ce peuple ? La violence ou la résignation ou pire il trouve refuge dans les mouvements intégristes ou dans les trafics en tous genres.
Cette rupture de confiance entre le peuple et ses dirigeants doit interpeller la jeunesse. Pour notre part, ce que nous chérissons pour notre peuple et sa jeunesse. C’est un mieux être dans un climat de tolérance, de dialogue et de reconnaissance mutuelle.
Le cas de la jeunesse malienne
Pour parler de la situation de la jeunesse le cas spécifique de la jeunesse malienne nous interpelle à plus d’un titre, car il y a une très grande confusion entre enfance et jeunesse et plus grave encore, entraîner la jeunesse dans la corruption organisée et généralisée. Cette couche qui représente la frange la plus nombreuse, la plus active et la plus en phase avec la nouvelle évolution du monde est superbement mise à la touche avec la phrase bien taillée pour qu’elle demeure le plus possible à l’écart ; je cite « elle a son avenir devant elle ».
Force est de reconnaître que de 1992, date des premières élections démocratiques, la jeunesse est restée peaufinée aux seconds rôles. C’est certainement ce qui explique que moins de 7 % d’entre elle qui sont représentés dans les instances démocratiques
Nous avons essayé beaucoup de stratégies des plaidoyers aux lobbyings en passant par des partis animés par des jeunes leaders ; mais la gérontocratie rampante à la vie dure.
III. Quelques pistes de propositions
La jeunesse africaine doit et peut refuser de jouer les seconds rôles. Elle doit se battre pour qu’elle soit représentée à tous les niveaux de la chaine de décision.
Que faire ?
Pour un début commençons par :
- moraliser la gestion de l’Etat,
-faire en sorte que les hommes politiques n’arrivent plus au pouvoir pour se servir de façon éhontée des richesses de l’Etat impunément
- Plafonner les dépenses des campagnes électorales.
- faire respecter par les classes politiques africaines un code de bonne conduite excluant l’achacratie et ses effets pervers.
-mettre les peuples africains au travail et partager les vertus du travail bien fait. Que la solidarité soit de mise mais que la récompense soit au mérite.
- repousser les mouvements intégristes jusque dans leur dernier retranchement et éviter la création de partis politiques religieux où à connotation religieuse.
- combattre les trafics mafieux de stupefiants, l’Afrique dans sa pauvreté ne doit pas tomber dans les travers des drogues qui n’ont développé aucun pays dans le monde (Colombie, Afghanistan, Mexique…)
- Valoriser la jeunesse en la faisant confiance et la valorisant.
Thème :
Etat de la démocratie en Afrique / la situation de la jeunesse
Lieu : Carrefour des jeunes de Bamako
Date : Le Samedi le 22 janvier 2011.
Communicateur :
Dr Modibo M SOUMARE président de l’Union des patriotes pour la république (URP), Président d’honneur du MARD.
I. Définition et Historique du multipartisme en Afrique :
La démocratie par définition c’est le pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple.
Après le discours du président François Mitterrand appelant à la démocratie en Afrique, les pays africains ont pris le chemin de la gestion publique par des formations politiques constituées.
• Le Mali (révolution du 26 mars) ;
• Le Sénégal (SOPI) qui a vu l’arrivée de maître Abdoulaye au pouvoir
• Le Niger de Maïnassara Baré
• La Côte d’Ivoire (l’accession de Laurent Gbagbo) ;
• Le Bénin l’arrivée de Nicéphore Soglo au pouvoir ensuite le retour de Mathieu KEREKOU
• Le Ghana avec une bonne alternance de John Djery Rowling à John Atamyl
• La République Démocratique du Congo et Le Congo Brazzaville
• La Sera Leone avec Hélène Jonson
• Le Gabon, le Togo avec des successions de pères à fils
• La spécificité des pays du Maghreb, de la Mauritanie de la Libye et de l’Egypte.
II. Une Constance dans ces démocraties
A regarder de prêt, la démocratie dans ces différents pays après une vingtaine d’années de balbutiement, se caractérise par « l’achacratie» pour ne pas dire l’achat des consciences. Les milliards de francs pour financer l’achat des consciences.
Dans ces conditions, la démocratie piégée dans laquelle nous vivons, ne rend plus service au peuple de nos pays. Au nom de cette démocratie piégée, certains acteurs politiques détournent l’argent du peuple à des fins personnelles et partisanes. Ils deviennent des références et des exemples pour la jeune génération. Cela entraine une perte de repère pour nos concitoyens.
Alors que reste-il à ce peuple ? La violence ou la résignation ou pire il trouve refuge dans les mouvements intégristes ou dans les trafics en tous genres.
Cette rupture de confiance entre le peuple et ses dirigeants doit interpeller la jeunesse. Pour notre part, ce que nous chérissons pour notre peuple et sa jeunesse. C’est un mieux être dans un climat de tolérance, de dialogue et de reconnaissance mutuelle.
Le cas de la jeunesse malienne
Pour parler de la situation de la jeunesse le cas spécifique de la jeunesse malienne nous interpelle à plus d’un titre, car il y a une très grande confusion entre enfance et jeunesse et plus grave encore, entraîner la jeunesse dans la corruption organisée et généralisée. Cette couche qui représente la frange la plus nombreuse, la plus active et la plus en phase avec la nouvelle évolution du monde est superbement mise à la touche avec la phrase bien taillée pour qu’elle demeure le plus possible à l’écart ; je cite « elle a son avenir devant elle ».
Force est de reconnaître que de 1992, date des premières élections démocratiques, la jeunesse est restée peaufinée aux seconds rôles. C’est certainement ce qui explique que moins de 7 % d’entre elle qui sont représentés dans les instances démocratiques
Nous avons essayé beaucoup de stratégies des plaidoyers aux lobbyings en passant par des partis animés par des jeunes leaders ; mais la gérontocratie rampante à la vie dure.
III. Quelques pistes de propositions
La jeunesse africaine doit et peut refuser de jouer les seconds rôles. Elle doit se battre pour qu’elle soit représentée à tous les niveaux de la chaine de décision.
Que faire ?
Pour un début commençons par :
- moraliser la gestion de l’Etat,
-faire en sorte que les hommes politiques n’arrivent plus au pouvoir pour se servir de façon éhontée des richesses de l’Etat impunément
- Plafonner les dépenses des campagnes électorales.
- faire respecter par les classes politiques africaines un code de bonne conduite excluant l’achacratie et ses effets pervers.
-mettre les peuples africains au travail et partager les vertus du travail bien fait. Que la solidarité soit de mise mais que la récompense soit au mérite.
- repousser les mouvements intégristes jusque dans leur dernier retranchement et éviter la création de partis politiques religieux où à connotation religieuse.
- combattre les trafics mafieux de stupefiants, l’Afrique dans sa pauvreté ne doit pas tomber dans les travers des drogues qui n’ont développé aucun pays dans le monde (Colombie, Afghanistan, Mexique…)
- Valoriser la jeunesse en la faisant confiance et la valorisant.
samedi 1 janvier 2011
Happy new year 2011
En ce debut d'année 2011
Mes premières pensées vont à cex qui sont malades, à ceux qui sont dans une extrême pauvrété, à ceux sont seuls sans famille (orphelins , enfant de la rue,vielles personnes )
Mes voeux de santé, de longevité, de paix ,de justice et de reussite à toutes et tous et que le travail bien fait soit notre réference et notre objectif une ressite honnète.
bonne année
Dr SOUMARE
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